BUSTY ON TILT : Un blog de Poker ou de parapoker...le but? Essayer d'analyser ou tout au moins parler du poker sous différents aspects, dans différents styles pour essayer d'avoir plusieurs perspectives et pas seulement celle de la joueuse "amateur" que je suis.
15 avril 2012
Comment j'ai mangé mon père, l'art pariétal et l homo sapiens pokérien
Pour certains néophytes le titre de cet excellent article peut paraître quelque peu énigmatique et crée une certaines suspicions sur les psychotropes usités afin de parfaire l'élaboration de mon développement...j'avoue que que je ne sais pas très bien comment entreprendre ce voyage dans la protohistoire si ce n'est en vous contant une anecdote datant déjà elle aussi de Mathusalem.
Or donc, voici quelques années déjà je suivais avec le sérieux qui est le mien, des cours passionnants d'art pariétal. Mon professeur, l'excellentissime Jean Clottes qui avait un rare talent pédagogique nous expliqua un jour la raison pour laquelle on trouvait des peintures rupestres dans les grottes surtout dans les couloirs des grottes ou petites cavités mais peu voire prou dans les grandes salles (comme à Niaux par exemple)... " bon ben à votre avis pourquoi? vous vous voyiez vous tâtonner dans le noir? dans cette grotte obscure, énorme, avec comme seul point de lumière une lampe à huile qui vous éclaire à peine, vous auriez pas la pétoche et d'ailleurs pas seulement de vous perdre, ben le mec de la préhistoire pareil, il préférait pas s'éloigner des boyaux que se perdre dans une salle sans boussole évidemment et je vous parle même pas de la dimension métaphysique comment le bonhomme devait gamberger"
Je n'ai jamais oublié cette anecdote plein de bon sens et ce soir tandis que je voulais manger un fish et dessiner mes arabesques dans un cash game endiablé, voilà que n'ayant pas tâtonner et reflechis à mes cotes et stats, je me suis un peu enfoncée dans l'obscurité de la grande salle éclairée juste d'une paire improbable et que je me suis perdue dans un all in cauchemardesque...ce n'est pas moi qui ai mangé mon père comme dans l'excellent roman humoristique de Roy Lewis qui raconte le quotidien d'une famille au paléolithique (avec l'oncle réac qui refuse de descendre de l'arbre), ce n'est donc pas moi qui ai mangé mon père mais l'énorme monstre d'en face qui a surgi de la caverne avec son brelan pour me bouffer tout cru...et Platon n'y a vu que du feu, le salop! n'en déplaise au mythe.
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Houla...
RépondreSupprimerParfois j'arrive à suivre mais là j'ai décroché...
:-D
arf moi qui pensais pour une fois avoir été simple, plus ai impression de simplifier plus tout le monde me dit que c'est dur à suivre, merdam, vais faire un effort avant de perdre tout mes lecteurs ^^
RépondreSupprimerj'essayerai de faire mieux la prochaine fois...